Partageons (à nouveau ?) un verre ou un contenant plein de la boisson détox de ton choix, mets toi à l’aise.
J’espère que vous avez passé de bonnes fêtes ! Il n’est jamais trop tard pour souhaiter bonne année alors encore bonne année et que celle-ci vous apporte tout ce dont vous avez besoin. J’ose croire tout de même que vous n’êtes pas du genre à voir une nouvelle année, un changement de chiffre dans un système de temporalité établi uniquement afin de se repérer dans la durée des cycles qui s’enchainent, bref un truc pas ouf comme l’élément déclencheur d’un changement radical vous concernant… Si oui, alors c’est très bien, vous êtes libres c’est absolument pas mon problème. Force et courage afin de tenir vos résolutions sur le long terme, sincèrement (en espérant que vous n’ayez pas encore flanché après 1mois… et si c’est le cas, à l’année prochaine mdr) !
Au départ j’avais dans l’idée de parler de quelque chose de concret, j’ai même demandé à pas mal de personnes qui, d’ailleurs, m’ont suggéré des sujets vraiment pas mal (merci à vous, cœur cœur) mais j’ai pas envie là. Ouais. Désolé pas désolé, c’est comme ça. Début d’année, premier post de 2019 on va pas se prendre la tête. Je suis contre le fait de se forcer la main dans l’écriture et dans tout autre type d’expression. C’est contre productif. Oui parfois il faut savoir s’imposer des choses, mais encore faut il savoir pourquoi on se les impose. Tout ça pour dire qu’ici, j’ai choisi ma liberté afin de faire des choses qui me plaisent et qui peuvent peut-être plaire.
Soyons libres !
Libres de faire ce que l’on veut, quand on veut et où on veut tant que c’est possible. Nous nous imposons nos propres limites dans le système de Babylone (faya Babylone (diez humour(ah bon?))), maaaais ça c’est un tout autre sujet, aha stay co ! Et NOOOON je ne vous ai pas dit d’aller voir votre prof, votre employeur ou qui vous voulez, lui donner une gifle, votre démission ou je ne sais quoi d’autre, maaais en soooi… vous faites ce que vous voulez ! Assumez vos actes et leurs conséquences, c’est tout.
Ah, mon verre est déjà vide… bon, je vais me resservir. En attendant, n’oublies pas de vivre !
PS : La liberté des uns s’arrête où commence celles des autres ! Je ne fais pas l’apologie d’un-bordel-sans-nom, je me dédouane. Peace !