HBDMM !

chronique-memento-morito

Bonjour Bonsoir ! Partageons (à nouveau ?) un verre ou un contenant plein de la boisson de ton choix, mets-toi à l’aise.

Et de préférence du champagne, car aujourd’hui (non c’est demain) on fête les 1an de Memento Morito !! Oui oui oui, le 17 octobre dernier paraissait notre tout premier article… déjà. Non, en vrai, à quel moment UNE ANNÉE s’est écoulée !? (bah en 365jours) Ça va trop vite ! Mais c’est trop bien et ça tombe bien: c’est l’occasion de revenir aux origines. Non, on ne va pas faire un remake de « La Planète des Singes ».

Par rapport à mon dernier article, je me suis dis qu’il serait bon d’ajuster quelques points sur quelques i, quelques barres à quelques t.

Je ne suis pas là pour jouer les coaches de vie. J’écris un joyeux bordel quant à mes expériences, réflexions etc, bref quant à ma vision de la vie. Oui, je peux me permettre de suggérer des réflexions que j’ai éprouvé, j’ai peut-être tort mais au final la réponse est dans mes articles: vous êtes responsables de vous-même et de vos choix. Je suis responsable de ce que j’écris, oui totalement. Malheureusement, malgré toutes les précautions que je peux prendre, je ne suis pas responsable de l’impact que ça a sur les lecteurs. La preuve en est, j’veux mettre un peu de fraicheur etc et malgré moi je blesse. « Alors arrête, c’est que tu t’y prends mal » répètent les voix dans ma tête (wopa !). Mais, mon ami, si on devait tous fonctionner comme ça, plus personne n’aurait droit à la parole. Cela dit, ça ne serait pas plus mal.

Plus sérieusement, ça reste vraiment une question de perception. Concernant la conclusion qui veut qu’on commence par se pardonner soi même, et bah moi je la trouve phénoménalement géniale !! Je ne comprends pas ce qu’il y a d’abominable dans ça mais je respecte qu’autrui ne soit pas ravi car cette démarche lui semble plus compliquée, injuste et/ou autre. D’ailleurs je suggère le film « Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot » de Gus Van Sant avec l’incroyable Joaquin Phoenix mais aussi Jonah Hill et Rooney Mara pour faire court. Génial ce film, génial. Quoi qu’il en soit, je ne vous souhaite que le meilleur (c’est relatif ça aussi, on reviendra dessus), du love (an tjolov) et euh, bah encore du love.

Joyeux Anniversaire à Memento Morito !

(c’est demain), merci à ceux qui suivent la chronique, bienvenue à ceux qui la découvre et tapons nos verres (tchintchin/cheers) à … ah ! Mon verre est vide. Bon, je vais me resservir. En attendant, porte le toast !