L’Effet Mer (part. 2)

Me revoici ! J’espère que tu as pensé à te servir de nouveau et que tu es encore confortablement installé.

Où j’en étais déjà.. ah oui ! « On s’attache et on s’empoisonne » comme a dit un grand poète du 21e siècle. Si les choses ne durent pas, que ça soit le temps d’une vie ou non, autant apprendre à les apprécier telles qu’elles sont. Et si d’entrée on vit l’instant présent,(Carpe Diem, tout ça), on ne se prendra pas la tête avec une quelconque fin. On apprécie un coucher de soleil (par exemple) pour sa beauté sur l’instant, (et aussi parce que) demain il y en aura un autre et ça sera encore l’émerveillement !

Les choses vont et viennent en fait. A l’image du flux et du reflux, selon les vents et les courants… Il faut savoir les laisser partir, puis revenir, et repartir etc. C’est une question de cycle, comme d’hab. Mais non, ça ne lui suffit pas à l’Humain, il doit posséder, affirmer que telle ou telle chose lui appartient, qu’il a du pouvoir bla-bla-bla, mais que possède t-on vraiment ? HA !

Alors oui, c’est surement rassurant mais ça semble aussi bien lourd et encombrant tout ça… Si le rêve de l’Homme c’est de voler bah camarade, même une poule ça vole pas et pourtant c’est pas si lourd. Ne venez pas me parler d’avion, je parle d’être vivant. Oui un flamand rose ça vole. Soyons des flamands roses et non des AUTRUCHES ! Voilà, c’est sympa ça.

Ah, mon verre est déjà vide… bon, je vais me resservir. En attendant, n’oublies pas de vivre !

PS: Je ne fais pas de « grossophobie » chez les animaux, c’est pour l’image. Tjolov aux autruches ! Vous êtes belles, j’vous aime, grr.