« Y’a r »

Partageons (à nouveau ?) un verre ou un contenant plein de la boisson de ton choix, mets toi à l’aise.

Qu’on se le dise, j’aime vraiment beaucoup écrire ici. Je ne sais pas trop pourquoi, mais ça me fait du bien. Dernièrement j’ai relu mes derniers articles et j’ai fini par me demander pour qui est-ce que je me prenais. Je suis là, je me la joue coach de vie malgré moi etc. C’est la débandade ici, on ne m’a rien demandé (je fais ce que je veux, beuleuleup) ! Peut-être qu’au final j’écrivais surtout pour moi, qui sait ? Peu importe ! Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler de « rien ». Ouais. Parce que dans rien, il y a tout. D’ailleurs, que serait le tout sans le rien et vice versa ? Je parlerai donc de tout et de rien !

Voilà, c’est tout pour moi. Merci d’être venu à mon TedTalk !

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… Plus sérieusement, blague à part, comment est-ce qu’on se figure le « rien » ? Du vide ? Mais le vide c’est bien quelque chose, non ? Je veux dire… il n’y a jamais vraiment « rien ». Le vide, le néant, si tout cela existe… oui tout cela existe bel et bien, c’est bien à partir de quelque chose. C’est tout ce qui forme le « rien » qui fait que rien existe, que tout existe
(psykokwaaaak). Si tout forme le rien, est ce que le rien forme le tout ? Mais si tout est rien, rien est tout (… ?? kids, don’t do drugs). C’est une question de perception, en fait. Et de ce sur quoi on se réfère. Ouais, c’est clairement pas une question de quantité. Comme l’idée du verre à moitié vide ou à moitié plein. Ou, plus radical: vide de boisson mais plein d’air ! Doooooonc, je parle pour rien(,) du tout.

Ah, mon verre est déjà vide… enfin……. erf, je vais me prendre une aspirine. En attendant, n’oublies pas de vivre !