Poudre de Perlimpimpin !

Partageons (à nouveau ?) un verre ou un contenant plein de la boisson de ton choix, mets toi à l’aise.

Aujourd’hui, je vous propose de passer de neuf à cinq ou du coq à l’âne car le coq sort d’un œuf et l’âne (??) …voilà. Ouais bon, ça n’a aucun sens ou du moins oui, cinq. Ils font sensations chez nos organes sensorielles, on les connait tous très bien – toucher, ouïe, vue, odorat, goût -, effectivement, il s’agit bien de nos sens et de leur MAGIIIIIIE !! (t’inquiète, C’est Pas Sorcier c’est pas ici) Et si je parle de magie, c’est bien parce qu’ils sont de sacrés illusionnistes. Dans le lot, je m’intéresse surtout à celui qui sait nous mettre la poudre yeux: la vue elle même.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, j’ai un coup de gueule à faire passer. Répondre « Je vois » quand on vous raconte quelque chose (je fais ça h34) …c’est scandaleux ! Comment je te parle, tu me dis que tu vois ? Cette association directe entre ‘voir’ et ‘comprendre’, « je vois donc je comprends »… précautions. D’ailleurs, je me demandais pourquoi ‘parler’ ne faisait pas parti de nos sens, je ne sais vraiment pas pourquoi ça m’est venu à l’esprit, il n’y a juste rien à ressentir en fait. (… ok?)

Plus sérieusement, je t’invite à regarder plus loin, mais pas trop loin non plus. A la vue des individus malvoyants voire aveugles (humains et animaux), il y a moyen de percevoir son environnement, particulièrement avec l’ouïe et/ou l’odorat. La vue n’est quand même pas là pour un confort, j’ose croire, alors pourquoi ? A voir (lol). Bref, on se repose énormément sur ce que l’on voit, tellement qu’on se permet de marcher dans les rues avec des écouteurs (hors-sujet (ah non, du tout)) et de juger du regard. En gros, on perd en sensibilité (non, crever tes yeux n’est pas une solution).

Moult citations nous parle, en gros, du fait que l’on voit à travers ce que nous sommes. Logique vu que ça passe par notre cerveau, sans oublier la caverne de Platon etc… En vérité ça ne concerne pas que notre vue. Au regard de nous même, je constate à nouveau que nous sommes des êtres sensitifs, càd que nos sens sont l’essence, entre autre, de ce à quoi nous donnons sens (waw sen-sa-tio-nel). Pour faire simple, ils font de nous ce que nous sommes. Du coup, l’idée c’est de prendre soin de soi (Garnier) et d’écouter quand on sent qu’on est touché par ce que l’on voit car c’est (ou pas) à notre goût, (ta-dum-tss).

Ah, mon verre est déjà vide… bon, je vais me resservir. En attendant, n’oublies pas de vivre !

PS: RIP StanLee