SEPTEMBRE !

Pour Lylydou, septembre, ce fut…

SEPTEMBRE !

Septembre et ses habituelles pluies, qui décident de se faire désirer cette année.

Septembre, cette période de l’année qui comme un nouvel an se fait période baliser pour de nouvelles résolutions, de nouvelles idées, de nouvelles motivations…

Septembre et ses surprises, son Isaac qui se cache, qui s’amuse !

 

NE PAS AVOIR PEUR DE S’ÉMERVEILLER

Septembre et son retour à la réalité.

Septembre c’est cette plongée dans les bouquins de recherches

Sé pa sa ki pli rèd…

Septembre c’est aussi saisir encore plus fort le pari de la vie…

Celui de toujours se plaire. Se plaire dans la vie, celui de ne pas avoir peur de s’émerveiller.

Comme voir dans un petit job l’extraordinaire…

Cet extraordinaire occasion d’être en intimité avec le savoir, de découvrir de jolies choses.

 

OSER

Un mot d’ordre pour septembre « oser », c’est le mois pour ! Le mois pour recommencer, mais surtout pour poursuivre, aller plus loins, essayer, réessayer, poursuivre, persévérer ou en tout cas, programmer tout ça !

 

Salut septembre !

HUMANITAIRE : ASSISTANCE MORTELLE ?

Septembre : début d’année ! Moment d’introspection…

Question de son impact sur le monde, sur la vie

L’humanitaire… quand l’UNICEF frappe à la porte, et offre la possibilité de contribuer à la vaccination des enfants, mais le vaccin, pour ou contre ? L’UNICEF, cet ONG, sûr ou pas ?

Car de plus en plus on voit les dérives de l’humanitaire et on commence à douter… douter à vouloir vérifier en quoi est-ce qu’on investit, en se souvenant du témoignage de JAHAIR, de Yannis Sainte-Rose (réalisateur de Chimen Lanmou), avec Assistance mortelle de Raoul Peck. On se questionne sur l’humanitaire, qu’est-ce vraiment, comment ça s’organise, comment être sûr de notre investissement quand on se tourne vers de grands organismes ?

 

VANITÉ…

Question sur notre impact sur le monde, sur la vie…

L’humain, l’humanité… Ça commence un soir, avec un papillon mémento mori, une vanité qui nous ramène sur terre, qui se pose comme un grain de sel sur ce morne d’introspection de rentrée… Réfléchir sur ce monde, sa sensibilité, sa sensibilité, la sienne, la notre. Où se trouve la limite entre le respect de la sensibilité de l’autre et la remise en question de cette dernière ? À quel point doit-on se remettre en question ? Car ce n’est pas aussi simple que de sortir un double décimètre et de mesurer, là on parle de bon sens, de bienséance, on parle de chose qui ne sont pas mesurables avec des unités de mesures classiques.

Garder en soi cet espoir d’autarcie, comme un espoir ultime d’un monde meilleur ou du moins de son monde meilleur. Ne plus pouvoir et surtout vouloir blesser, ne plus être blessée, ne plus subir de cet esprit cassé, se libérer de ce coeur abimé.

 

DE CONSTRUIRE – DÉCONSTRUIRE ?

Septembre, c’est ce retour au choses sérieuses, au travail. C’est retrouver ces disciplines soeurs en tentatives d’invalidation de l’autre.

C’est être confronté à ces tentative de compréhension du monde, tentative d’analyse du monde oubliées presqu’au profit d’une déconstruction.

Encore une bataille d’égo, un « ethnocentrisme épistémologique »…

Alors, en émerge un ras-le-bol, une envie de disséquer afin de passer à « de construire », oui, une envie de construire, d’aimer, d’archiver, de remercier, de rendre hommage même si se dresse une rigueur scientifique devant soit.

 

PRENDRE LE TEMPS ?

Et puis, Septembre c’est aussi peu de temps pour souffler, c’est si peu de temps que les jolies idées s’envolent sans qu’on ait le temps de les poser sur le papier, ou même qu’on ait le temps de les partager.

Et pourtant… C’est aussi, on en a presque l’impression, une pré-phase de zombiification… À suivre, donc ! Mais on travaille à ce que la suite soit meilleure, on pave la route de bienveillance, de travail, de passion, de motivation en espérant un être épanoui…

Si non, votre septembre à vous ? Envie d’en partager un petit bout en commentaires ?

À bientôt,

Lylydou