Ritjilé, Ritjilé…

Partageons (à nouveau ?) un verre ou un contenant plein de la boisson de ton choix, mets toi à l’aise.

Dernièrement je me suis retrouvée face à une situation un peu commune à tous : celle de donner des conseils aux autres sans pour autant les appliquer dans sa vie. En fait, ce n’est pas que je ne les appliquais pas du tout mais je faisais comme ça m’arrangeait et ce n’est pas mon petit confort, malgré moi, qui dirait le contraire. (« your comfort zone will kill you ! ») En partant du postulat que je puisse être quelqu’un de génial (quand l’envie me prend), j’ai pu déceler, avant qu’il ne soit trop tard, où se situait le mal qui me rongeait et qui m’entrainait vers les méandres sans fin de l’ennui existentiel (oulala…). En se basant sur ce même postulat, je te partage tout de même le cheat (l’astuce quoi) qui m’a sauvé les castagnettes :

PRENDRE DU RECUL.

Basic. Simple. Efficace pour tous types de maux, à condition d’ouvrir les yeux et de vouloir voir. (Concernant mes castagnettes, ce n’est pas parce que tu ne vois pas que ça n’existe pas, héhé). Bref, pour revenir à ma vie, en prenant du recul j’ai pris conscience que je cherchais quelque chose dont j’avais envie (bah, encore heureux ?) mais dont je n’avais ABSOLUMENT PAS besoin (AH !). Une chose pourtant si élémentaire, mon cher Watson ! Donc oui, j’ai reculé pour mieux sauter. A quoi bon être raisonnable ? C’est chiant*. On est des gars chauds, on suit notre cœur. Les roses sont rouges, les violettes sont bleues, YOLO that’s the motto (s/o Drake), rien de plus, rien de moins, jusqu’ici tout vas bien !

Ah, mon verre est déjà vide… bon, je vais me resservir. En attendant, n’oublies pas de vivre !

*PS: Je ne fais pas l’apologie d’un-bordel-sans-nom, je me dédouaaane !